Teen Wolf RPG

« Everybody wants to be a hero. Everybody thinks, that when there moment comes, they’ll know exactly what to do. But, not everyone does. And you’ll never know until you’re tested. Because when your friends in trouble, you don’t think. You trust the instinct. »


Trust your instinct → Ferme les yeux. Sens la caresse du vent contre sa peau. Respire son odeur, respire sa vie. Caresse-la d’un mouvement fluide, et ouvre les yeux. Vois le monde. Vois les bois. Entends chaque pas qui peuplent cette forêt. Entends chaque soupir qui s’y perd… ou n’y entends rien. Loup. Monstre. Humain. Peu importe. Ouvre les yeux, et sois prêt. Sois prêt à affronter le monde, à sentir les battements de ton cœur se perdre, à entendre ton souffle se perdre. Sois prêt. Mais surtout…surtout, crois en ton instinct.

A dead body → Froid macabre. Puanteur des fonds obscurs. Un souffle lourd et dense, un regard fixé par le temps. Au moins, la sirène de la police claque contre le silence agonisant. La mort. La puanteur. Une flèque en pleine cœur. Une balle entre les yeux. Un arrêt du cœur. Une morsure sur la gorge. Qui? Quand? Où? Homme ou bête, il n’y a pas de différence. Peu importe votre être, votre âme, votre regard…la mort vous guette.

Don’t be such a sourwolf. → Les griffes s’allongent. Le corps, lentement, se transforment. Les dents s’aiguisent… un cri, long et strident, déchire l’air. La vision se teinte d’une couleur particulière. Les bruits s’accentuent. Les battements d’ailes d’une mouche vous parviennent. Le souffle d’un enfant endormi à l’autre bout de la ville parvient à vos oreilles. Monstre ou humain, qu’êtes-vous? Hurlant à la lune, chassant la vengeance. Reptilien ou poilu, vos yeux luisent d’une couleur animale. Monstre ou humain, un cœur bat en votre sein.

Obviously. It’s Hugo Boss. → Les pas résonnent dans les couloirs du lycée. Autour, une infinie de murmure. Des voix, petites et basses, ne cessant de s’élever sur mon passage. Ouvre les yeux, ouvre les yeux. Les oreilles sont tendues, les yeux guettent. Plus personne n’est discret et les innocents sont recherchés. Le voisin? Le vendeur? La factrice? Qui sont les méchants, qui sont les gentils? Loups? Chasseurs? Humains? Les apparences sont trompeuses, surfaites. Les murmures se multiplent, assassins. Vis. Cours. Meurs. Mais surtout, fais attention aux apparences et aux faux semblants. Car après tout, c’est Hugo Boss, n’est-ce pas?

Smile, because you never know who’s falling in love with you. → Souris. Ris. Cris. Pleure. Jouis. Sois toi et personne d’autre. Peu importe le sang qui coule dans tes veines, peu importe le sang qui coulent sur tes mains. Vis et souris, car l’amour frappe souvent plus fort que la mort. Souris et aime. Pleure et cris. Ton Coeur s’ouvre, ton Coeur se brise. Profife de chaque seconde, méprise chaque souffle. Vis. Meurs. Jouis. Cours. Marche. Rampe. Souris, car la vie file entre tes doigts. Aime, car il n’y a que peu de coeur pouvant battre à l’unisson avec le tien. Rire, car il n’y a pas plus belle musique de par le monde.

We need each other. Sometimes when you need help, you turn to people you'd never expect → Un souffle tremblant. Une main moite. Le regard s’agite un instant, alors que les battements du coeur ne cessent d’accélérés. Puis, une étreinte. Un corps en rencontrant un corps. Une main cherchant sa jumelle, au milieu d’une foule. Un regard de biais, perdu, rencontrant un autre qui apporte un certain réconfort. Une main enserrant une épaule d’un bref amical. La sonnerie d’une téléphone au bout milieu de la nuit. Une promesse à peine murmurée « À la vie, à la mort. Peu importe les emmerdes, peu importe les déboires. »

Nobody trusts anyone. THAT’S the problem. → Un regard de biais, bref. Une main qui se retire, un regard qui s’éclipse. Un nœud se formant au détour de la gorge. Mensonge. Trahison. Secret. Murmure. Ne dites plus mots, on ne vous croit plus. Qui croire? À qui faire confiance? Une promesse mensongère, un secret interdit. Mens. Souris. Cris. Doute. Crois. Vérité. Au milieu de la foule, perdue dans le néant de l’assemblée, nous ne sommes que des âmes solitaires égarées. Croyant un instant à la sécurité et à la vérité, puis se faisant poignarder dans le dos par l’être aimé.



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